TERREDES HOMMES. Ouvrage d'Antoine de Saint-Exupéry (1900-1944), publié à Paris en 1939. Il se présente sous la forme d’une suite de récits et de témoignages étayés par des réflexions d’une belle signification morale. Dans un chapitre intitulé « La Ligne », l’auteur évoque quelques souvenirs concernant son apprentissage de
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Antoinede Saint-Exupéry Aide directe à l’enfance en détresse Nouvelle adresse du siège social : 12 Grand-rue Pierre Braun - 68170 RIXHEIM : Bernard De Geeter - Vientiane 2015 . Éditorial Chers lecteurs, Pour la famille Terre des Hommes Alsace l’année 2017 a démarré fort. Du côté des manifestations notre maintenant traditionnelle
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CorrigéTravail sur le texte littéraire et sur l'imageCompréhension et compétences d'interprétation1. On identifie deux lieux le désert introduction du texte, où se trouve le narrateur [ Ici » et entre le sable et les étoiles »] et la maison de son enfance [ quelque part » et dans un parc chargé de sapins noirs et de tilleuls »]. Ces lieux s'opposent car le désert, c'est la réalité présente du narrateur, tandis que la maison de son enfance, elle, appartient aux enchantements de [s]a mémoire », au songe ». En outre, les bruits voix humaines, chant des grenouilles, les odeurs, l'eau les mares », la fraîcheur », les présences, la végétation sapins noirs et tilleuls »>, les animaux des grenouilles », s'opposent au silence du désert ce silence fait de mille silences », à son aridité, à sa Plusieurs sensations sont ravivées par le souvenir de la maison visuelles un parc chargé de sapins noirs et de tilleuls » ; une vieille maison » ; les mares » ; olfactives ses odeurs » ; auditives des voix », chant des grenouilles », ce silence fait de mille silences », se taisaient » ; tactiles la fraîcheur » ; gustatives le goût de ce désert ».3. Les mille repères » sont ceux créés par le souvenir de la maison de son enfance, et de son enfance elle-même. Au début du texte, depuis que le narrateur a été contraint de se poser dans le désert, il se sent dépouillé de tout, dépossédé de sa propre histoire, de sa vie, perdu dans cette immensité aride et vide, désorienté Je n'étais rien qu'un mortel égaré entre du sable et des étoiles », un corps échoué sur une grève ». Heureusement une douce présence amicale s'insinue en lui, celle de la maison de son enfance. Alors les souvenirs surgissent, ravivent les sensations du passé, lui rappellent qui il est, d'où il vient. Ces mille repères », venus de sa mémoire, lui permettent de se reconnaître lui-même, de retrouver son identité, son être, pour ne plus être ce corps échoué, seulement conscient de respirer. On note d'ailleurs l'opposition entre absence » et présence » qui confirme cette Le thème de l'eau est présent dans tout ce passage eaux de source », échoué sur une grève », des grenouilles dans les mares », neige ». L'eau joue un rôle essentiel dans le désert, où le voyageur souffre souvent de la soif. Une telle importance explique sans doute cette comparaison. Les songes, les souvenirs sont aussi vitaux que l'eau à l'aviateur isolé dans le désert. Mais la source est aussi jaillissement, écoulement de l'eau surgie des profondeurs de la terre. Les songes, les souvenirs jaillissent eux aussi des profondeurs de la mémoire, involontairement et de manière souterraine ; peu à peu, ils s'insinuent, coulent de plus en plus fort. Enfin, l'eau de source est pure, claire car c'est le point d'origine. Le narrateur remonte vers l'origine, ses racines, son enfance, sa maison, son parc. Cette eau » fertilise en quelque sorte le désert qui, au départ, était totalement vide, aride, de même que les songes viennent nourrir et redonner du sens » à celui qui ne se reconnaissait Comme nous l'avons indiqué à la question 4, le thème de l'eau est présent dans tout le texte ; la neige est de l'eau congelée qui tombe en flocons blancs et froids. Ici, le souvenir des piles de draps insiste sur le blanc et la fraîcheur la fraîcheur de ses vestibules ». On note plusieurs références au froid, à l'absence de chaleur. Si la chaleur du désert est intense et accablante le jour, la nuit, le froid est piquant et vif ni me réchauffer dans ma chair », un message froid ». Encore une fois, la comparaison est liée à l'environnement du narrateur, à sa situation. Un immense paysage désertique, des dunes de sable blanc peuvent aussi ressembler à un paysage couvert de neige. Le narrateur n'est plus dans le réel, le désert et sa nuit froide, il a plongé dans le passé, dans son enfance, grâce à quelques sensations qui font surgir involontairement les souvenirs et transforment ce Cette page de Terre des hommes procure une émotion poétique grâce à quelques figures de style ou procédés fréquents en poésie les comparaisons comme des eaux de source », draps blancs comme neige », les répétitions rien », silence » et silences », les symétries de construction avec leurs effets de rythme plein du souvenir de ses odeurs, plein de la fraîcheur de ses vestibules, plein des voix qui l'avaient animée », les allitérations conscients de la seule douceur de respirer ». On relève même parfois quelques alexandrins conscients de la seule douceur de respirer », Et cependant, je me découvris plein de songes ». Mais l'émotion poétique naît surtout du rapport du narrateur au monde, à l'espace et au temps ; il ne raconte pas les événements qu'il a vécus à la suite de son atterrissage forcé, il évoque ses sensations, le passage du réel à l'imaginaire – voire la confusion des deux –, les enchantements de sa mémoire auxquels il s'abandonne, les yeux fermés ». Le réel est transformé, transfiguré les grenouilles ne coassent pas, elles chantent, le goût même d'éternité » lui vient à la bouche !7. Cette photographie évoque la maison dont se souvient Saint-Exupéry quand il s'abandonne aux songes dans le désert. On retrouve la vieille maison, le parc, les arbres ; on imagine les bruits, les odeurs, l'ombre rafraîchissante les jours de Cette maison, avec son petit jardin, ses pots de fleurs, sa végétation provoque une impression de paix, de quiétude, de simplicité. La végétation n'est pas luxuriante on aperçoit seulement quelques arbres, de petites haies de buis, une plante grimpante. La vie doit y être simple et tranquille. Mais, comme l'auteur, on imagine l'existence de ceux qui y ont vécu. Le souvenir d'une maison, notamment celle de notre enfance, me paraît très important car nous y avons grandi, rêvé, joué ; nous l'avons remplie de nos cris, de nos joies et de nos chagrins. C'est le lieu où a débuté notre vie, c'est pourquoi il est inoubliable ; la maison est un thème fréquent de l' et compétences Cette construction grammaticale est impersonnelle car il », le sujet du verbe était », ne renvoie à rien ni personne de précis, d'identifiable ; le vrai sujet ou sujet réel du verbe est un parc » un parc était quelque part, chargé de sapins noirs….b Cette formule fait penser à la formule d'ouverture du conte traditionnel, Il était une fois… ». Le radical du nom enchantement » est chant », le préfixe en- » et le suffixe -ement » sont Un enchantement désigne soit un sortilège, un charme magique, soit un émerveillement, un ravissement. Le narrateur joue sans aucun doute sur la polysémie du mot ; en effet, une douce présence s'insinue peu à peu en lui, comme par la magie des songes ; il ne comprend pas immédiatement ce qui se passe. Mais quand il le comprend, il s'abandonne totalement à l'émerveillement, au ravissement que provoque le souvenir de sa maison d' Nous n'étions rien que des mortels égarés entre du sable et des étoiles, conscients de la seule douceur de respirer…Et cependant, nous nous découvrîmes pleins de extrait comporte des verbes à l'imparfait ; les terminaisons sont identiques pour les trois groupes -ais, -ais, -ait, -ions, -iez, -aient Il n'y avait », aucun autre chemin ne pouvait », Ils ne disaient rien », Ils ne voulaient rien », Le vent passait », Ils marchaient », la fatigue et la soif les enveloppaient » le verbe s'accorde ici avec ses deux sujets coordonnés, la fatigue et la soif », La faim les rongeait » verbes en -ger n'oubliez pas le e entre le g et le a ; le pronom personnel les », placé devant le verbe, est son COD, il ne commande absolument pas l'accord de rongeait » qui se fait avec le sujet faim ».Trois verbes sont conjugués au plus-que-parfait de l'indicatif auxiliaire + participe passé Ils étaient nés » avec l'auxiliaire être, le participe passé s'accorde avec le sujet ; La sécheresse avait durci » avec l'auxiliaire avoir, le participe passé est généralement invariable ; il ne s'accorde avec le COD que si celui-ci est placé avant le verbe ; ici, le COD leurs lèvres et leur langue » est placé après le verbe avait durci », donc le participe passé durci » ne s'accorde pas - et surtout pas avec le sujet la sécheresse » ! ; Ils étaient devenus » avec l'auxiliaire être, le participe passé s'accorde avec le sujet.Un verbe est conjugué au conditionnel passé auxiliaire + participe passé Ils n'auraient pas pu ».Un verbe est conjugué au présent de l'indicatif le soleil brûle » n'oubliez pas l'accent circonflexe. Trois verbes sont à l'infinitif car ils dépendent d'un autre verbe qui n'est pas l'auxiliaire être ou avoir ne pouvait les conduire », n'auraient pas pu parler » ; d'une préposition sans s'arrêter ». Pour vérifier que la terminaison de ces deux derniers verbes s'écrit bien -er c'est-à-dire qu'il s'agit bien de verbes à l'infinitif, remplacez ces verbes par un autre du 2e ou du 3e groupe pas pu répondre », sans faiblir », sans s'interrompre », par exemple ; si ceux-ci sont à l'infinitif, c'est que les verbes du 1er groupe le sont aussi, et doivent donc se terminer par -er ».Les adjectifs attributs du sujet, introduits par le verbe devenir, s'accordent avec le sujet ; attention, ici, ces adjectifs sont éloignés du verbe par un complément de temps depuis si longtemps » ou de comparaison comme le désert » Ils étaient devenus […] muets […] pleins de lumière ».Plusieurs mots se terminent par une consonne que l'on n'entend pas ; en les mettant au féminin ou en trouvant un mot de la même famille, vous pouvez identifier cette consonne muette désert » désertique, vent » venteux, venter, travers » traverser, depuis », longtemps » long+temps, muets » muettes.Plusieurs mots comportent une consonne doublée terre », personne », passait », comme », s'arrêter », enveloppaient », sécheresse ».Attention aux homonymes n'y avait » il y avait / ni personne » ; la faim » affamé / la fin ; et » conjonction de coordination la fatigue et puis la soif / est verbe être.Écoutez bien les liaisons, elles renseignent sur la terminaison d'un mot Ils étaient nés », aucun autre chemin », sur eux », à travers eux », la première aube », la fatigue et la soif », les enveloppaient », leurs lèvres et leur langue », Ils étaient devenus », brûle au centre ».RédactionSujet de réflexion La solitude, ça n'existe pas », chantait autrefois Gilbert Bécaud. En effet, nous vivons constamment avec autrui, dans des groupes plus ou moins importants, liés à des situations ou des lieux de vie le couple, la famille, l'école, la rue, le quartier, l'immeuble, l'entreprise, le camping, etc. Constamment, nous sommes sous le regard des autres, en contact avec les autres. La vie sociale constitue une dimension essentielle de notre condition d'homme, sans doute plus encore aujourd'hui que par le passé. Or il semblerait que nous ayons besoin de moments de solitude. Pour quelles raisons ?Tout d'abord, la vie moderne, avec ses progrès techniques, nous relie les uns aux autres grâce au téléphone mobile nous pouvons être joints partout, à n'importe quelle heure du jour et de la nuit, même pour des motifs futiles. Les SMS, les tweets, les blogs, les réseaux sociaux en général sont devenus des modes de communication omniprésents dans nos vies, au point que notre intimité est difficile à préserver, au point que certains sont harcelés de messages ! On ne pourrait plus se passer de ces échanges. Pourtant, chacun a besoin de calme, de sérénité, besoin de se retrouver seul avec lui-même. Comment imaginer de vivre seulement au milieu de la foule dans la rue, au supermarché, au cinéma, sur la plage des vacances ? Nous devons aussi exister par nous-mêmes et pour nous-mêmes, car trop souvent nous n'existons que dans la dépendance de l'autre, qu'il soit l'amie, le mari ou l'épouse, la classe, la bande de copains… Cultiver son jardin secret me paraît essentiel pour développer harmonieusement notre personnalité, notre être, notre singularité. Ainsi, le journal intime est un lieu privilégié de retour sur soi, sur ce que l'on a vécu, ressenti, sur nos rêves et nos aspirations, loin de toute contrainte extérieure. D'ailleurs, de nombreuses personnes tiennent leur journal, et pas uniquement des exemple nous conduit donc à penser que la réflexion, la méditation sont des moments de retrouvailles personnelles qu'il faut respecter. Ainsi, loin de tout comportement grégaire, sans subir l'influence plus ou moins forte de l'autre ou des autres, nous nous recentrons sur notre existence, notre pensée, pour nous écouter, dans le silence et la liberté. Car ce sont des moments de liberté irremplaçables. Certains objecteront peut-être que c'est de l'égoïsme ou de l'individualisme. Eh bien, absolument pas ! On ne doit pas se sentir coupable de prendre du temps pour soi, rien que pour soi. Trop de gens aujourd'hui ont peur du vide », peur de rester seuls avec eux-mêmes, de penser à leur condition, à la condition humaine et aux problèmes qu'elle pose. Alors ils plongent dans le tourbillon de la vie en groupe, des échanges, dans le vertige d'une communication intense mais superficielle on communique, on parle, on discute mais en réalité on ne dit rien, rien d'important ; on parle pour parler, pour ne pas rester seule, pour maintenir un contact car on craint la solitude, l'isolement ou le rejet. Or la lecture, par exemple, est un acte solitaire qui nous enrichit de la rencontre d'auteurs, de personnages, de destinées singulières ou ordinaires ; elle permet de mieux se connaître, mieux se comprendre, d'explorer des possibilités ces moments de solitude nourrissent notre être, l'enrichissent ; cette richesse intérieure, si nous savons la développer, favorise en retour notre sens du réel et des responsabilités, renforce notre vie sociale, notre ouverture aux autres. Nos relations, nos rapports avec autrui n'en sont que meilleurs, plus forts, plus profonds. C'est un peu ce que le poète Baudelaire mettait en pratique quand il parcourait les rues de Paris il avait besoin d'être parmi les autres, de les observer, mais il savait préserver des moments de solitude positive pour effectuer un retour sur lui-même, riche de ces contacts multiples et conclusion, la solitude n'est pas l'isolement, ce n'est pas être abandonné de tous ; elle est une sorte de préparation à la vie sociale, par une authentique découverte de soi, grâce à des moments de totale indépendance, durant lesquels le moi » se cherche, se connaît, reconnaît ses différences, s'enrichit pour mieux s'ouvrir ensuite sur cette autre dimension de notre condition d'homme la relation à d'imaginationUn frisson parcourut tout mon corps. Jamais je ne reverrais le parc, ses sapins et ses tilleuls, la maison de mon enfance, animée des voix de mes êtres chers… Je sentis alors monter en moi un désir, une volonté de plus en plus farouche de réagir, de ne pas me laisser submerger par le désespoir, de ne pas abandonner la lutte pour survivre, pour vivre. L'énergie de l'enfant que j'avais été, de cet enfant intrépide qui battait sans cesse la campagne, qu'il pleuve ou qu'il vente, m'inondait de sa chaleur bienfaisante. Je me secouai et m'encourageai de la voix Tu ne vas pas renoncer, rester coincé ici dans cette immensité de dunes ! Attendre les secours ? Pourquoi ? Avant qu'on comprenne que tu as disparu, que les secours se mettent à ta recherche et qu'on repère ton avion dans cet océan de sable, le soleil t'aura desséché, mon pauvre vieux ! À toi d'agir ! »Les souvenirs d'enfance m'avaient étrangement redonné courage. Mais que pouvais-je faire ? Impossible de réparer mon avion je n'avais pas les outils qu'il fallait, ni les pièces nécessaires. Appeler les secours ? Ma radio demeurait désespérément muette. Elle avait certainement souffert lors de mon atterrissage forcé dans ces dunes. Abrité sous une aile de l'appareil, j'envisageais les possibilités de me sortir de cette situation très délicate. Marcher. Marcher vers l'ouest, vers la mer, afin de trouver un point d'eau, une oasis, peut-être un village, ou de rencontrer une caravane de nomades. C'était la seule solution car, avant de me poser, j'avais rapidement calculé ma position. Partir dans les autres directions, c'était s'enfoncer encore plus dans le désert, risquer de s'égarer, de perdre définitivement toute chance d'être secouru, levai la tête pour observer le ciel constellé d'étoiles, très brillantes dans cette nuit obscure, loin des lumières de la vie moderne. Je repérai l'ouest. Dans l'avion, je rassemblai tout ce qui pourrait m'être utile un chapeau pour me protéger du soleil ardent, un grand mouchoir, les quelques vivres que j'avais emportées pour ce vol, un bidon d'eau et une boussole. La charge ne devait pas être trop lourde, sinon elle épuiserait rapidement mes n'attendis pas le lever du jour afin de profiter de la fraîcheur nocturne. Je grimpai au sommet d'une dune. L'immensité du désert s'offrit à mes yeux. Courageusement, je me mis à marcher. Mes pieds s'enfonçaient dans le sable de la dune, rendant la progression lente et difficile. Parfois ils butaient contre une pierre et me déséquilibraient. Peu à peu les ténèbres se déchiraient ; je sentais dans mon dos la chaleur du soleil levant. D'un coup, la lumière jaillit de l'horizon et inonda le monde. Je protégeai ma tête et mon cou des rayons brûlants de l'astre du jour grâce au chapeau et au marchai… marchai… un pas après l'autre. Comme un automate. La fatigue m'accablait. Une pause fut la bienvenue. Je regardai ma montre. Cinq heures s'étaient écoulées depuis que j'avais abandonné mon avion. Quelle distance avais-je parcourue ? Impossible de l'évaluer tant la progression était pénible dans de telles conditions. Le soleil m'éblouissait. La sueur inondait mon corps. Je bus quelques gorgées d'eau et mangeai un biscuit. Je m'assoupissais lorsqu'un bruit familier me tira de ma torpeur. Un moteur ! Un moteur d'avion ! Aussitôt, je bondis, me mis à agiter les bras, à crier, à hurler afin que le pilote me voie, m'entende. Malheureusement, l'appareil poursuivait sa route. Le pilote ne m'avait pas repéré, minuscule fourmi au milieu de cette immensité cherchait-il ? Avait-il découvert mon avion ? Deux sentiments contradictoires me déchiraient le cœur le désespoir de me sentir abandonné à mon triste sort et l'espoir de pouvoir être enfin sauvé. Peut-être les débris de mon avion et les traces de mes pas guideraient-ils finalement le pilote vers moi ? Fallait-il attendre ou continuer ma route vers l'ouest ?
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